Un jour une photo c’est une image, un mot sur l’histoire de sa création, un mini-topo sur ce qu’elle nous apprend. Aujourd’hui on parle du cirque de Budapest (1920)
Soyez attentifs aux lignes pour créer une dynamique
Vous avez sans doute entendu dire qu’il ne fallait pas plus de trois couleurs dominantes sur une photo. C’est assez vrai, ça évite les composition brouillonnes, ça clarifie la lisibilité.
Une autre chose qu’on peut chercher à limiter, c’est le sens des lignes. Dans la photo du jour, André Kertész en garde deux : de haut en bas (les planches de la porte et les deux personnages) et de gauche à droite (le sol et la toile en haut de la photo).
En effet il n’y a pas de ligne diagonale, de ligne de travers. Tout est parfaitement vertical ou parfaitement horizontal. On avait évoqué dans cet article le bienfait de la simplicité pour attirer le regard. C’est un peu pareil ici.
Les compositions les plus simples sont parfois les plus parlantes. Pas besoin d’épiloguer sur cette photo simple d’un couple qui regarde le cirque à travers la porte.
L’ironie vient aussi du titre donné à la photo, « Le cirque de Budapest ». En effet on peut s’attendre à des photos d’éléphants ou d’acrobates, or on a simplement droit à l’image de deux personnes de dos.
Autre avantage avec des personnes de dos : elles ne vous voient pas déclencher votre appareil, avec un système relativement silencieux vous pouvez passer inaperçus!
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